LES HALLES DE COULEE ET LE PARC A FONTE
Chaque haut-fourneau possédait sa halle de coulée. Elles étaient constituées par le bâtiment standard que l'on retrouvait dans diverses usines de la région et qui abritait la zone remplie de sable où l'on créait les empreintes destinées à recevoir la fonte liquide.
Les deux halles de coulée indépendantes
Un chantier de coulée prêt à accueillir la fonte
Schéma d'un chantier de coulée. 
A la sortie du haut-fourneau 
 un petit barrage  permet d'évacuer le laitier qui a pu être entrainé avec la fonte. La fonte emprumpte le canal principal et elle est guidée par les fondeurs successivement vers chacun des canaux secondaires.
 Le parc à fonte permettait le stockage des gueuses avant chargement dans des wagons tombereaux. Une voie ferrée permettait la liaison avec la gare. Il ne comportait aucun équipement de manutention. Le chargement des wagons se faisait "à l'os" c'est-à-dire manuellement. Une bascule permettait la pesée des wagons. 
 Après électrification de l'usine deux lampadaires éclairaient cette zone de travail équipés de lampes à arc
Wagons en attente de chargement sur le parc à fonte
Le sommet du mat 
d'éclairage avec le 
système de poulies qui 
permettait de descendre 
la lampe pour changer les charbons

Les ouvriers font la chaîne pour charger les gueuses de fonte
Sur la droite le stock de fonte, et les voies normales permettant le chargement des wagons.
Sur la gauche les réserves de coke avec sur la voie étroite des wagonnets chargés en attente d'être 
poussés au pied du monte-charge. 
Carte datant d'avant 1903. L'éclairage électrique du parc est déjà installé.
Le parc de la SLI vu depuis la route montant à Godbrange
Le parc à fonte avec des wagons en attente de chargement. 
Sur la gauche on distingue un attelage de chevaux. 
Assurait-il les manoeuvres des wagons sur les voies normales? 
 
Photo non datée Collection Aimé Tarnus